Comme tout juste sorti d'un rêve dont on ne se souviendrait que de quelques bribes, l'univers photographique d'Eleanor Hardwick n'est pas sans rappeler celui du "Virgin Suicide" de Sofia Coppola, ou encore d'une Alice et de son lapin blanc égarés dans un disque Grunge...
Peuplé de personnages aux masques enfantins inquiétants, de jeunes filles romantiques aux regards éteints, perdus dans des espaces désertés, notre imaginaire sillonne un monde parallèle doux-amer, joliment mêlé de littérature, de poésie, de morbide et de sublime.
1 commentaire:
tu a très bien décris sont univers, je trouve que tu as utilisé les mots justes!
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